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12/02/2016

Papy tresse des couronnes à l'électronique

Voici un titre plutôt surprenant et même provocateur tant il est admis que les seniors répugnent à utiliser ces techniques, voire leur vouent un mépris emprunt de suspicion. Toutes proportions gardées, cela évoque les chikhayas autour du fait religieux. Faute de connaissance, on s’en tient à des slogans et on prend des caricatures pour des vérités.

Pour ma part, j’use (assez modérément) de ces techniques et m’en trouve bien. Par exemple, avec un fils et une nièce entreprenant chacun leur tour du monde, c’est assez réjouissant, grâce à Skype, de pouvoir échanger avec l’interlocuteur, de le voir et même l’environnement où il  se trouve.

On sait depuis longtemps qu’un dessin vaut mieux qu’un long discours. Quand maintenant on peut, avec un téléphone, fixer l’évènement sur le vif et par le MMS, autre merveille, le diffuser à l’autre bout du monde, c’est autrement plus facile à faire qu’un dessin !

Je ne prétends pas que papy circule à travers ces logiciels aussi à l’aise que sur les chemins du Vercors à VTT. C’est justement l’occasion de faire appel à la « hot-line » privée que sont les petits enfants. Non seulement ils ont réponse à tout, ce qui me réjouit. Mais je crois qu’ils ne sont pas peu fiers d’être les profs de leurs grand-parents.

En définitive, ces drôles de techniques qui traînent après elles tout un cortège de récriminations, sont un peu comme la langue d’Esope : ce n’est pas le moyen qui est en cause, mais bien la façon dont on s’en sert !

Voici un titre plutôt surprenant et même provocateur tant il est admis que les seniors répugnent à utiliser ces techniques, voire leur vouent un mépris emprunt de suspicion. Toutes proportions gardées, cela évoque les chikhayas autour du fait religieux. Faute de connaissance, on s’en tient à des slogans et on prend des caricatures pour des vérités.

Pour ma part, j’use (assez modérément) de ces techniques et m’en trouve bien. Par exemple, avec un fils et une nièce entreprenant chacun leur tour du monde, c’est assez réjouissant, grâce à Skype, de pouvoir échanger avec l’interlocuteur, de le voir et même l’environnement où il  se trouve.

On sait depuis longtemps qu’un dessin vaut mieux qu’un long discours. Quand maintenant on peut, avec un téléphone, fixer l’évènement sur le vif et par le MMS, autre merveille, le diffuser à l’autre bout du monde, c’est autrement plus facile à faire qu’un dessin !

Je ne prétends pas que papy circule à travers ces logiciels aussi à l’aise que sur les chemins du Vercors à VTT. C’est justement l’occasion de faire appel à la « hot-line » privée que sont les petits enfants. Non seulement ils ont réponse à tout, ce qui me réjouit. Mais je crois qu’ils ne sont pas peu fiers d’être les profs de leurs grand-parents.

En définitive, ces drôles de techniques qui traînent après elles tout un cortège de récriminations, sont un peu comme la langue d’Esope : ce n’est pas le moyen qui est en cause, mais bien la façon dont on s’en sert !

Voici un titre plutôt surprenant et même provocateur tant il est admis que les seniors répugnent à utiliser ces techniques, voire leur vouent un mépris emprunt de suspicion. Toutes proportions gardées, cela évoque les chikhayas autour du fait religieux. Faute de connaissance, on s’en tient à des slogans et on prend des caricatures pour des vérités.

Pour ma part, j’use (assez modérément) de ces techniques et m’en trouve bien. Par exemple, avec un fils et une nièce entreprenant chacun leur tour du monde, c’est assez réjouissant, grâce à Skype, de pouvoir échanger avec l’interlocuteur, de le voir et même l’environnement où il  se trouve.

On sait depuis longtemps qu’un dessin vaut mieux qu’un long discours. Quand maintenant on peut, avec un téléphone, fixer l’évènement sur le vif et par le MMS, autre merveille, le diffuser à l’autre bout du monde, c’est autrement plus facile à faire qu’un dessin !

Je ne prétends pas que papy circule à travers ces logiciels aussi à l’aise que sur les chemins du Vercors à VTT. C’est justement l’occasion de faire appel à la « hot-line » privée que sont les petits enfants. Non seulement ils ont réponse à tout, ce qui me réjouit. Mais je crois qu’ils ne sont pas peu fiers d’être les profs de leurs grand-parents.

En définitive, ces drôles de techniques qui traînent après elles tout un cortège de récriminations, sont un peu comme la langue d’Esope : ce n’est pas le moyen qui est en cause, mais bien la façon dont on s’en sert !

Voici un titre plutôt surprenant et même provocateur tant il est admis que les seniors répugnent à utiliser ces techniques, voire leur vouent un mépris emprunt de suspicion. Toutes proportions gardées, cela évoque les chikhayas autour du fait religieux. Faute de connaissance, on s’en tient à des slogans et on prend des caricatures pour des vérités.

Pour ma part, j’use (assez modérément) de ces techniques et m’en trouve bien. Par exemple, avec un fils et une nièce entreprenant chacun leur tour du monde, c’est assez réjouissant, grâce à Skype, de pouvoir échanger avec l’interlocuteur, de le voir et même l’environnement où il  se trouve.

On sait depuis longtemps qu’un dessin vaut mieux qu’un long discours. Quand maintenant on peut, avec un téléphone, fixer l’évènement sur le vif et par le MMS, autre merveille, le diffuser à l’autre bout du monde, c’est autrement plus facile à faire qu’un dessin !

Je ne prétends pas que papy circule à travers ces logiciels aussi à l’aise que sur les chemins du Vercors à VTT. C’est justement l’occasion de faire appel à la « hot-line » privée que sont les petits enfants. Non seulement ils ont réponse à tout, ce qui me réjouit. Mais je crois qu’ils ne sont pas peu fiers d’être les profs de leurs grand-parents.

En définitive, ces drôles de techniques qui traînent après elles tout un cortège de récriminations, sont un peu comme la langue d’Esope : ce n’est pas le moyen qui est en cause, mais bien la façon dont on s’en sert !

Voici un titre plutôt surprenant et même provocateur tant il est admis que les seniors répugnent à utiliser ces techniques, voire leur vouent un mépris emprunt de suspicion. Toutes proportions gardées, cela évoque les chikhayas autour du fait religieux. Faute de connaissance, on s’en tient à des slogans et on prend des caricatures pour des vérités.

Pour ma part, j’use (assez modérément) de ces techniques et m’en trouve bien. Par exemple, avec un fils et une nièce entreprenant chacun leur tour du monde, c’est assez réjouissant, grâce à Skype, de pouvoir échanger avec l’interlocuteur, de le voir et même l’environnement où il  se trouve.

On sait depuis longtemps qu’un dessin vaut mieux qu’un long discours. Quand maintenant on peut, avec un téléphone, fixer l’évènement sur le vif et par le MMS, autre merveille, le diffuser à l’autre bout du monde, c’est autrement plus facile à faire qu’un dessin !

Je ne prétends pas que papy circule à travers ces logiciels aussi à l’aise que sur les chemins du Vercors à VTT. C’est justement l’occasion de faire appel à la « hot-line » privée que sont les petits enfants. Non seulement ils ont réponse à tout, ce qui me réjouit. Mais je crois qu’ils ne sont pas peu fiers d’être les profs de leurs grand-parents.

En définitive, ces drôles de techniques qui traînent après elles tout un cortège de récriminations, sont un peu comme la langue d’Esope : ce n’est pas le moyen qui est en cause, mais bien la façon dont on s’en sert !

15:01 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)

07/02/2016

Des seniors au ski de fond

Dans ce monde de bruits, de fureur et de larmes, il y a souvent quelques éclaircies joyeuses et ensoleillées. Pour moi, c’est le cas lorsque nous partons, avec mes copains retraités ++, glisser sur les pistes de ski de fond. Certes on n’a pas la cadence d’un Fourcade ou d’un Fillon-Maillet (je cite celui-là parce qu’il est jurassien). Mais on est heureux de pouvoir encore aligner des dizaines de kms (mettons 2 dizaines, n’exagérons pas)

Occasion aussi de voir dans ces amicales confrontations que ces seniors ne sont pas les râleurs ronchons que l’on dit. J’ai pu le constater dans ce dernier séjour de ski que nous faisions dans le jura. En fait de ski, il pleuvait. Plutôt que s’en tenir aux fondameutaux du 3eme âge, jeux de cartes et télé, ils se la jouaient « singing in the rain » en crapahutant dans les environs. 

Rapatriés dans les salles hors-sac et mélangés avec des meutes de gamins échoués là, ils redevenaient « papys » en récupérant les gants, les bonnets de ces jeunes un peu éparpillés. Des jeunes d’ailleurs qui disaient merci. Qu’on a trouvé aussi courtois sur les pistes, disciplinés dans les traces. Peut-être à l’envers de ce qui est prêté au 9-3 puisque 39 (le jura pour les allergiques aux départements)

Plaisir en revanche le lendemain de glisser sur les traces de la fameuse « Transjurassienne » comme si nous y étions ! Avec un petit remord : pensez que des champions, et beaucoup d’amateurs viennent s’échiner tous les mois de février sur ces 76kms juste pour la gloire, sans une seconde de tété. Et pendant ce temps, on est submergé des exploits d’un PSG, au budget de 20 fois plus que les bas du tableau. Et leur grande vedette passée à 1,5 millions/mois !

Quel monde ! Je crois que lorsque nous le quitterons bientôt nous n’en serons pas vraiment fâchés.

15:49 Publié dans Sport | Lien permanent | Commentaires (1)

27/01/2016

Délivrez nous des "moi, je...!"

C’était une de ces journées parties de travers. Cela commence à la Poste où, scotché devant le panneau annonçant l’ouverture à 9 heures, j’ai attendu 9H 10 pour que ça ouvre. C’était juste sous une neige tombant à gros flocons mouillés. Je comprends un peu ces fonctionnaires : il y a de moins en moins de lettres, pourquoi se presser. Et puis ces retraités qui ont leur reste de vie devant eux devraient venir plus tard !

L’étape suivante se passe chez le boucher. Un monsieur, la liste de madame à la main, demande un type de viande absente de l’étal. L’abîme de perplexité où cela le plonge durerait encore si le boucher ne venait à son secours. Oui, mais cette proposition l’embête : « Il y a de l’os ? - Oui, monsieur- Beaucoup ? – Non, normal pour ce morceau. – Bon, je prends »

Enhardi par l’échange, il explore tout l’étal : « Le museau, là, il est épicé ? –Un peu. – Alors, ça pique ! – Non, pas trop. – Vous m’en mettez un peu » Et de répéter le numéro 3 à 4 fois. Non sans un ultime da capo : « Et comment, il faut le cuire ? » le fameux morceau.

Quand je donne les raisons de  mon retard, mon épouse a l’explication : je piaffe parce que je suis « speedy ». Speedy ou pas, cette façon d’accaparer un vendeur à son profit, captif par destination, m’indispose. D’autant que la petite saynète du « moi, je » se déroule aussi chez le pharmacien où on déroule complaisamment un check-up exhaustif de sa petite personne  ou chez le garagiste où on distribue les points, bons ou mauvais, de chaque pièce de la voiture.

J’entends les chantres écolo-décroissants susurrer que si je ne mangeais pas de viande, si j’allais à vélo plutôt qu’en voiture, me garantissant ainsi une santé éclatante, je n’aurais pas recours à ces 3 commerçants. N’en déplaise aux chantres. A 80 ans passés, je ne culpabilise pas de rendre, sans abuser, une visite de temps à autre à mon pharmacien.

17:08 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)