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25/02/2016

Pas si bêtes

Mon environnement familial plutôt cattophile trouve que mon amour des chats est tiède. C’est une méprise, car de tous les 2 ou 4 pattes qui m’entourent, le chat est celui  que je supporte le mieux. Cette bête passe beaucoup de temps à dormir et d’un naturel indépendant se plait davantage dehors que dans mes jambes.

Je n’en dirai pas autant des chiens. Outre qu’ils sont mes ennemis préférés à vélo, ils se font une vraie émulation dans leurs concerts d’aboiements poursuivis jusqu’à la nuit. Ils sont aussi familiers d’une variante de Petit poucet odorant en parsemant leurs itinéraires de leurs déjections, itinéraires qui sont aussi les notres.

La bête à la mode c’est le cheval. Fier animal certes, mais qui fonctionne comme le chien. C’est sur mes sentiers de randonnée à VTT qu’il répand avec application son crottin. Lequel se fait sentir, on peut le dire, largement et longtemps.

Je pourrais en avoir fini de ma liste de détestation animale mais les princes des Emirats viennent de m’obliger à la compléter. Connaissez-vous le « Abou Dhabi Falcon Hospital » ? Cet hôpital réservé aux faucons est doté des instruments technologiques les plus avancés, à faire pâlir un de nos CHU. Comme le caprice des seigneurs locaux n’a pas de prix, les soins sont gratuits !

Quand on pleure la misère dans un de nos établissements, on pourrait se dire que la « secu » ne nous prend pas pour des faucons mais un peu pour des vrais !

14:36 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

17/02/2016

Trop de précautions nuit

On me connait comme un pourfendeur résolu du principe de précaution. Bien sûr, l’idée en est bonne mais l’excès de précautions rend les gens par trop précautionneux.  Infantilisés, déresponsabilisés, ils acceptent qu’on leur dicte chaque geste sous peine des pires catastrophes. Et les exemples abondent.

En cette période de vacances de neige, on a prévu des gendarmes aux accès des stations pour vérifier que ces skieurs étaient équipés pour gagner la montagne. Comme s’ils ne la connaissaient pas ! C’est vrai qu’on a vu l’an passé des ingénus des plaines, plus riches en gazon qu’en neige, se lancer dans l’aventure aussi démunis qu’un plongeur sans bouteilles.

On rappelle sans cesse aux vieux, ces vedettes de l’inconscience, qu’il faut boire pour ne pas se déshydrater et s’habiller un peu quand il fait moins 20. S’ils sont parvenus à un âge avancé, c’est probablement qu’on leur a tenu la main à chaque instant jusque là.

Cette période de neige est aussi celle des tempêtes, des vagues énormes et des risques de submersion et qu’il faut donc éviter de s’approcher trop près. Evident, n’est-ce pas ! On a quand même vu un couple (des vieux justement) se laisser prendre par la vague. C’est consternant ! Ou ils ne comprennent pas le mot submersion. Ou ils ont monté un coup avec un jeune pour lui laisser la gloire d’un sauvetage.

J’éviterai les mille interdits des ayatollahs de la nourriture qui ont de quoi dérouter les mieux affranchis. Grâce à mes parents d’abord, puis à une épouse attentive, je suis en bonne santé et mange à ma faim. Je trouve mes glucides dans le miel de mes tartines ou le thé de mes bidons de sport. Mes protides se cachent dans une cuisse de poulet ou une sardine. Quant aux lipides, les graisses, je les ai constamment avec moi sous la forme de ces 2 ourlets qui surplombent ma ceinture.

11:26 Publié dans santé | Lien permanent | Commentaires (0)

12/02/2016

Papy tresse des couronnes à l'électronique

Voici un titre plutôt surprenant et même provocateur tant il est admis que les seniors répugnent à utiliser ces techniques, voire leur vouent un mépris emprunt de suspicion. Toutes proportions gardées, cela évoque les chikhayas autour du fait religieux. Faute de connaissance, on s’en tient à des slogans et on prend des caricatures pour des vérités.

Pour ma part, j’use (assez modérément) de ces techniques et m’en trouve bien. Par exemple, avec un fils et une nièce entreprenant chacun leur tour du monde, c’est assez réjouissant, grâce à Skype, de pouvoir échanger avec l’interlocuteur, de le voir et même l’environnement où il  se trouve.

On sait depuis longtemps qu’un dessin vaut mieux qu’un long discours. Quand maintenant on peut, avec un téléphone, fixer l’évènement sur le vif et par le MMS, autre merveille, le diffuser à l’autre bout du monde, c’est autrement plus facile à faire qu’un dessin !

Je ne prétends pas que papy circule à travers ces logiciels aussi à l’aise que sur les chemins du Vercors à VTT. C’est justement l’occasion de faire appel à la « hot-line » privée que sont les petits enfants. Non seulement ils ont réponse à tout, ce qui me réjouit. Mais je crois qu’ils ne sont pas peu fiers d’être les profs de leurs grand-parents.

En définitive, ces drôles de techniques qui traînent après elles tout un cortège de récriminations, sont un peu comme la langue d’Esope : ce n’est pas le moyen qui est en cause, mais bien la façon dont on s’en sert !

Voici un titre plutôt surprenant et même provocateur tant il est admis que les seniors répugnent à utiliser ces techniques, voire leur vouent un mépris emprunt de suspicion. Toutes proportions gardées, cela évoque les chikhayas autour du fait religieux. Faute de connaissance, on s’en tient à des slogans et on prend des caricatures pour des vérités.

Pour ma part, j’use (assez modérément) de ces techniques et m’en trouve bien. Par exemple, avec un fils et une nièce entreprenant chacun leur tour du monde, c’est assez réjouissant, grâce à Skype, de pouvoir échanger avec l’interlocuteur, de le voir et même l’environnement où il  se trouve.

On sait depuis longtemps qu’un dessin vaut mieux qu’un long discours. Quand maintenant on peut, avec un téléphone, fixer l’évènement sur le vif et par le MMS, autre merveille, le diffuser à l’autre bout du monde, c’est autrement plus facile à faire qu’un dessin !

Je ne prétends pas que papy circule à travers ces logiciels aussi à l’aise que sur les chemins du Vercors à VTT. C’est justement l’occasion de faire appel à la « hot-line » privée que sont les petits enfants. Non seulement ils ont réponse à tout, ce qui me réjouit. Mais je crois qu’ils ne sont pas peu fiers d’être les profs de leurs grand-parents.

En définitive, ces drôles de techniques qui traînent après elles tout un cortège de récriminations, sont un peu comme la langue d’Esope : ce n’est pas le moyen qui est en cause, mais bien la façon dont on s’en sert !

Voici un titre plutôt surprenant et même provocateur tant il est admis que les seniors répugnent à utiliser ces techniques, voire leur vouent un mépris emprunt de suspicion. Toutes proportions gardées, cela évoque les chikhayas autour du fait religieux. Faute de connaissance, on s’en tient à des slogans et on prend des caricatures pour des vérités.

Pour ma part, j’use (assez modérément) de ces techniques et m’en trouve bien. Par exemple, avec un fils et une nièce entreprenant chacun leur tour du monde, c’est assez réjouissant, grâce à Skype, de pouvoir échanger avec l’interlocuteur, de le voir et même l’environnement où il  se trouve.

On sait depuis longtemps qu’un dessin vaut mieux qu’un long discours. Quand maintenant on peut, avec un téléphone, fixer l’évènement sur le vif et par le MMS, autre merveille, le diffuser à l’autre bout du monde, c’est autrement plus facile à faire qu’un dessin !

Je ne prétends pas que papy circule à travers ces logiciels aussi à l’aise que sur les chemins du Vercors à VTT. C’est justement l’occasion de faire appel à la « hot-line » privée que sont les petits enfants. Non seulement ils ont réponse à tout, ce qui me réjouit. Mais je crois qu’ils ne sont pas peu fiers d’être les profs de leurs grand-parents.

En définitive, ces drôles de techniques qui traînent après elles tout un cortège de récriminations, sont un peu comme la langue d’Esope : ce n’est pas le moyen qui est en cause, mais bien la façon dont on s’en sert !

Voici un titre plutôt surprenant et même provocateur tant il est admis que les seniors répugnent à utiliser ces techniques, voire leur vouent un mépris emprunt de suspicion. Toutes proportions gardées, cela évoque les chikhayas autour du fait religieux. Faute de connaissance, on s’en tient à des slogans et on prend des caricatures pour des vérités.

Pour ma part, j’use (assez modérément) de ces techniques et m’en trouve bien. Par exemple, avec un fils et une nièce entreprenant chacun leur tour du monde, c’est assez réjouissant, grâce à Skype, de pouvoir échanger avec l’interlocuteur, de le voir et même l’environnement où il  se trouve.

On sait depuis longtemps qu’un dessin vaut mieux qu’un long discours. Quand maintenant on peut, avec un téléphone, fixer l’évènement sur le vif et par le MMS, autre merveille, le diffuser à l’autre bout du monde, c’est autrement plus facile à faire qu’un dessin !

Je ne prétends pas que papy circule à travers ces logiciels aussi à l’aise que sur les chemins du Vercors à VTT. C’est justement l’occasion de faire appel à la « hot-line » privée que sont les petits enfants. Non seulement ils ont réponse à tout, ce qui me réjouit. Mais je crois qu’ils ne sont pas peu fiers d’être les profs de leurs grand-parents.

En définitive, ces drôles de techniques qui traînent après elles tout un cortège de récriminations, sont un peu comme la langue d’Esope : ce n’est pas le moyen qui est en cause, mais bien la façon dont on s’en sert !

Voici un titre plutôt surprenant et même provocateur tant il est admis que les seniors répugnent à utiliser ces techniques, voire leur vouent un mépris emprunt de suspicion. Toutes proportions gardées, cela évoque les chikhayas autour du fait religieux. Faute de connaissance, on s’en tient à des slogans et on prend des caricatures pour des vérités.

Pour ma part, j’use (assez modérément) de ces techniques et m’en trouve bien. Par exemple, avec un fils et une nièce entreprenant chacun leur tour du monde, c’est assez réjouissant, grâce à Skype, de pouvoir échanger avec l’interlocuteur, de le voir et même l’environnement où il  se trouve.

On sait depuis longtemps qu’un dessin vaut mieux qu’un long discours. Quand maintenant on peut, avec un téléphone, fixer l’évènement sur le vif et par le MMS, autre merveille, le diffuser à l’autre bout du monde, c’est autrement plus facile à faire qu’un dessin !

Je ne prétends pas que papy circule à travers ces logiciels aussi à l’aise que sur les chemins du Vercors à VTT. C’est justement l’occasion de faire appel à la « hot-line » privée que sont les petits enfants. Non seulement ils ont réponse à tout, ce qui me réjouit. Mais je crois qu’ils ne sont pas peu fiers d’être les profs de leurs grand-parents.

En définitive, ces drôles de techniques qui traînent après elles tout un cortège de récriminations, sont un peu comme la langue d’Esope : ce n’est pas le moyen qui est en cause, mais bien la façon dont on s’en sert !

15:01 Publié dans Science | Lien permanent | Commentaires (0)