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25/02/2016

Pas si bêtes

Mon environnement familial plutôt cattophile trouve que mon amour des chats est tiède. C’est une méprise, car de tous les 2 ou 4 pattes qui m’entourent, le chat est celui  que je supporte le mieux. Cette bête passe beaucoup de temps à dormir et d’un naturel indépendant se plait davantage dehors que dans mes jambes.

Je n’en dirai pas autant des chiens. Outre qu’ils sont mes ennemis préférés à vélo, ils se font une vraie émulation dans leurs concerts d’aboiements poursuivis jusqu’à la nuit. Ils sont aussi familiers d’une variante de Petit poucet odorant en parsemant leurs itinéraires de leurs déjections, itinéraires qui sont aussi les notres.

La bête à la mode c’est le cheval. Fier animal certes, mais qui fonctionne comme le chien. C’est sur mes sentiers de randonnée à VTT qu’il répand avec application son crottin. Lequel se fait sentir, on peut le dire, largement et longtemps.

Je pourrais en avoir fini de ma liste de détestation animale mais les princes des Emirats viennent de m’obliger à la compléter. Connaissez-vous le « Abou Dhabi Falcon Hospital » ? Cet hôpital réservé aux faucons est doté des instruments technologiques les plus avancés, à faire pâlir un de nos CHU. Comme le caprice des seigneurs locaux n’a pas de prix, les soins sont gratuits !

Quand on pleure la misère dans un de nos établissements, on pourrait se dire que la « secu » ne nous prend pas pour des faucons mais un peu pour des vrais !

14:36 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

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