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18/02/2024

Des leçons à apprendre après l'école

J’avais la prétention dans mon dernier post d’apporter ma contribution au développement du sport à l’école. En me relisant, je constate que papy s’est offert une chronique de sa vie sportive, essentiellement cycliste.  Ce qui ne fera pas beaucoup avancer la cause du sport à l’école. Mais je n’y reviendrai pas. Un raté suffit.

A part les heureux instits qui arrivent à caser des heures de gym à la neige, si l’école n’arrive pas généralement à caser du temps pour la  gym, elle n’a pas le temps de préparer les futurs citoyens aux difficultés de la vie. Un exemple d’une préoccupation du moment : la vie chère. On a beau avoir essayé de trouver le nombre de piquets  ,espacés de 10 mètres, nécessaires dans un terrain de 97X45 mètres,  cela n’aide  pas à boucler  son budget. Je connais même des champions de l’équation du second degré qui n’arrivent pas à faire entrer leurs dépenses dans l’enveloppe des  recettes.

Et la gouverne  des enfants, à venir,  elle y touche, l’école ? Depuis les cours d’éducation sexuelle, on leur apprend un peu comment on les commence, mais la suite ? D’accord, c’est aux parents de continuer et d’apprendre l’autonomie à leurs enfants.  Je me souviens d’une conférence de Georges Suffert qui nous avait choqués, jeunes étudiants : «  Faites des enfants, et laissez-les se débrouiller ».  Quand on conduit les enfants à l’école en voiture, qu’on leur donne un smartphone à 9 ans pour qu’ils appellent au 1er pet de travers, la coquète de l’autonomie va être difficile ;

Parent  est un métier difficile qui ne s’apprend ni à l’école, ni nulle part ailleurs. Avec cette drôle d’idée qu’il suffirait de devenir patent pour l’être correctement. C’est donc la méthode ‘essais-erreurs » Pas étonnant que certains parents soient fixés longtemps  à la période des erreurs !

Issu d’une famille qui a connu la guerre et ne peut imaginer manquer de pates, de sucre ou de pain, je garde précieusement des objets venus de loin, des récits de voyages  au large et de livres aimés ? Vient un moment, lié à l’âge, où la maison risque de déborder si on n’évacue pas le trop-plein. C’est un arrachement de choisir ce qu’on élimine parmi tant d’objets inoubliables.

Mollement aidé par un soutien du type « Ces livres, de toutes façons, tu ne les liras plus ».  Dans une atmosphère qu’aurait résumé Georges : «  ça sent déjà un peu  le sapin », l’action manque d’entrain.

Quel que soit le quota de m² à récupérer, il y a un objet qui ne partira pas de sitôt :   mon vélo. Quitte à l’ériger en statue au milieu du salon pour recevoir mes hommages reconnaissants.

09:40 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)

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