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15/06/2017

"Je m'voyais déjà"...végétarien

En randonnée en camping-car, je n’étais pas vraiment en mesure de scruter l’actualité et la commenter. J’ai toutefois repéré cette semaine une journée de manifestation contre les violences faites aux animaux. S’il y en a qui ne souffrent guère de violences, ce sont les 15 millions de chats et chiens dont la France détient le record.

Des bêtes quasi maternées et pour une bonne part, par des maîtres qui en sont abêtis. L’idée qu’elles pourraient être sacrifiées en cas de famine les ferait hurler d’horreur. Quant à moi, un chien hurlant la nuit pendant des heures, cette éventualité ne me glacerait pas d’horreur.

Ma rancœur à leur égard (des bêtes, même si…) tient à d’autres raisons. Mon voisin (souvenez-vous : le même qui appelle ses chiens « mes bébés ») se vante par exemple de consacrer 2 kilos de viande de bœuf à son gros mastard. En multipliant ces kilos par les millions de semblables, on comprend que la planète peut se faire du souci, elle qui peine déjà à nourrir ses 7 milliards d’habitants.

Et finalement, suprême désastre, toute cette nourriture gâchée finit en crottes que n’épargnent pas toujours nos chaussures. Pour conjurer  le mauvais sort, on a coutume de dire que marcher sur une merde porte chance !

Drôle de chance qu’ont eue les confrères invités de ce curé nivernais à venir déguster un plat de sa composition. Ce n’est qu’après avoir reçu leurs félicitations de cet excellent lapin qu’il a avoué que c’était du chat. Où l’on voit qu’en gauloiserie les clercs en leurs cures le disputent aux salles de garde des carabins. Au fait, pourquoi les lapins et pas les chats ?

En randonnée en camping-car, je n’étais pas vraiment en mesure de scruter l’actualité et la commenter. J’ai toutefois repéré cette semaine une journée de manifestation contre les violences faites aux animaux. S’il y en a qui ne souffrent guère de violences, ce sont les 15 millions de chats et chiens dont la France détient le record.

Des bêtes quasi maternées et pour une bonne part, par des maîtres qui en sont abêtis. L’idée qu’elles pourraient être sacrifiées en cas de famine les ferait hurler d’horreur. Quant à moi, un chien hurlant la nuit pendant des heures, cette éventualité ne me glacerait pas d’horreur.

Ma rancœur à leur égard (des bêtes, même si…) tient à d’autres raisons. Mon voisin (souvenez-vous : le même qui appelle ses chiens « mes bébés ») se vante par exemple de consacrer 2 kilos de viande de bœuf à son gros mastard. En multipliant ces kilos par les millions de semblables, on comprend que la planète peut se faire du souci, elle qui peine déjà à nourrir ses 7 milliards d’habitants.

Et finalement, suprême désastre, toute cette nourriture gâchée finit en crottes que n’épargnent pas toujours nos chaussures. Pour conjurer  le mauvais sort, on a coutume de dire que marcher sur une merde porte chance !

Drôle de chance qu’ont eue les confrères invités de ce curé nivernais à venir déguster un plat de sa composition. Ce n’est qu’après avoir reçu leurs félicitations de cet excellent lapin qu’il a avoué que c’était du chat. Où l’on voit qu’en gauloiserie les clercs en leurs cures le disputent aux salles de garde des carabins. Au fait, pourquoi les lapins et pas les chats ?

11:05 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)