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06/01/2017

Spéciale bonne année

Se conformer à la coutume des vœux de bonne année peut paraître convenu, voire un peu ringard, mais dans ces temps de pessimisme appuyé, une fois l’an s’accrocher au mot bon, pourquoi pas ? J’y vais donc de mon adjectif : bonne année, mais que je vais développer. En effet, le très raccourci : meilleurs vœux, laisse insatisfait. Meilleurs vœux de quoi ?

Plus que détaillant, je vais être universel et m’adresser à tous les français. A qui je souhaite pour l’année naissante quelques petits bonheurs. Par exemple une grève d’une semaine de la télé, que les jeux guerriers buggent sur les smartphones ou éventuellement l’annulation de la candidature de Paris aux J.O.

Puisque le couperet tombe cette année, on pourrait espérer pour eux un nouveau Président dont ils n’aient pas à rougir. Juste dans cette case politique, souhaiter que les écolos renoncent à leurs batailles d’ego et que ce soit des propositions écologiques qu’ils poussent. Et puisque le maire de Grenoble se fait des gros succès d’audience parce qu’il est écolo, qu’il pense un peu aux vélos.

Parmi les français, certains me sont plus proches, mes proches justement. En plus de toutes les bontés que je leur espère, a eux, que le virus méchant qui les a agressés en fin d’année aie  vraiment jeté ses derniers feux et qu’ils puissent, tout au long de 2017, exprimer leur enthousiasme coutumier.

Pour ma part, j’entame 2017 avec un bel optimisme grâce à un petit miracle. Ayant réclamé au service des impôts, avec toutes les circonvolutions déférentes qui convenaient, une réduction de ceux-ci, on me l’a octroyée. Et c’est une voix chatoyante qui me l’a annoncée au téléphone avec des bons vœux ! De grâce, monsieur Fillon, ne supprimez pas ce fonctionnaire-là !    

18:35 Publié dans Société | Lien permanent | Commentaires (0)